Dans un texte intitulé Shakespeare, pièce manquante, paru dans Le Monde du 18 juillet, Olivier Cadiot écrit : "Quand on lit les Psaumes traduits par Clément Marot on voit
passer des licornes dans des jardins verdelets, il y a des chapeaux
pointus et des roses trémières".
jeudi 1 août 2013
Les psaumes, Olivier Cadiot et Clément Marot
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