lundi 29 juillet 2013

Peter Handke et la marche



Par une nuit obscure je sortis de ma maison tranquille. J'ai lu ce livre de Peter Handke en un week-end. Sur les 230 pages, il m'a fallu attendre la page 133 pour lire ce que à quoi je m'attendais, une belle description d'un hôtel, puis page 176 la rencontre avec un ermite, et enfin, page 198, le récit d'une entrée à pied dans la ville de Saragosse.
Et page 191, j'ai trouvé cette belle phrase : "Et pour une fois, je n'ai rien lu, ou plutôt la steppe, les lieux là-bas, c'était ma bibliothèque" - une phrase qui me correspond assez moi qui finalement lit très peu lors de mes longues marches sur plusieurs jours.

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